Revue du vendredi 26 novembre 2021

L’ancien Ministre de l’EPST, Willy Bakonga a quitté hier jeudi dans la soirée, sa cellule de la prison centrale de Makala, apprend « POLITICO.CD », des sources de cette maison carcérale.  

Pour le moment précise « MEDIA CONGO », les vraies raisons de sa libération ne sont pas connues. 

Des sources judiciaires contactées par « DEPECHE.CD », confirment l’organisation d’une cérémonie officielle ce vendredi consacrée à la libération des prisonniers bénéficiaires de la grâce présidentielle.  

Les plaintes des femmes « violées » lors des perquisitions chez Kalev moisissent à l’auditorat militaire constate « FORUM DES AS ». Plus de deux mois après, les plaintes de deux femmes présumées victimes de viol et violences lors des perquisitions effectuées le 10 Août dernier dans deux résidences de l’ncien administrateur général de l’ANR, Kalev Mutondo, déposées à l’auditorat général, n’ont pas toujours connu de suite. Epuisés après des interminables rappels, les avocats des plaignantes ont décidé de dénoncer cet état de chose.                        

Au Kasaï, trente juristes en formation sur le renforcement de la justice pour les femmes et filles après les atrocités de Kamuena Nsapu. Ce projet de renforcement de capacité explique « ACTU7.CD », se clôture ce vendredi.

Arrêté pour avoir dénoncé les insuffisances de l’état de siège », Luc Malembe, porte-parole de LAMUKA, dans la province de l’Ituri a été transféré hier jeudi à la prison centrale de Bunia. La nouvelle a été livrée hier jeudi à « ACTU7.CD », par un avocat qui a assisté au transfèrement de ce cadre de LAMUKA. 

Congo Hold-up, toujours d’actualité. Sur son compte Twitter consulté par « CAS – INFO.CA », Jean-Claude Katende dénonce la mafia de Nangaa et insiste sur la publication du rapport financier de son Bureau. Pour lui, l’ancien Bureau de la CENI, dirigé par Corneille Nangaa doit également s’expliquer sur lagestion des fonds alloués pour le processus électoral de 2018. 

En diplomatie. Selon « CAS – INFO.CA », le Président Tshisekedi et son homologue Rwandais, Paul Kagamé ont eu un tête-à-tête au palais de la nation. A l’issue de cet entretien, face à la presse, Paul Kagamé s’est dit content de visiter son frère Congolais et de participer à cette importante conférence sur les violences faites aux femmes et aux jeunes filles.  

Au sujet justement de cette conférence, « ACP », rapporte que le Président de la République et président en exercice de l’Union Africaine, Félix Tshisekedi a exprimé, dans son discours d’ouverture des travaux du 1er sommet des chefs d’état Africains sur la « Masculinité positive », organisé hier jeuid à Kinshasa, la détermination collective  des dirigeants « de mener des réformes courageuses pour éradiquer dans nos sociétés toutes les formes de violences à l’égard des femmes et des filles ».    

Après avoir été empêché de tenir leur sit-in le lundi dernier devant le siège de la CENI, « MEDIA CONGO » rapporte que le MILAPRO, le CALCC, le FCC et LAMUKA ainsi que d’autres forces politiques et sociales, seront de nouveau dans la rue ce samedi pour dire non à la politisation de la Centrale électorale. Ce, malgré l’interdiction de l’hôtel de ville de Kinshasa, rappelle ce média en ligne. 

Selon l’itinéraire rendu public hier jeudi, les manifestants de la capitale sont repartis en trois axes. Il s’agit, en premier lieu, révèle « YABISONEWS.CD », des populations des districts de Tshangu, Mont-Amba et Funa. Ces derniers se dirigeront jusqu’au Palais du peuple choisi comme point de chute par les organisateurs de ladite marche.   

Pendant ce temps, le Premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde, le Président de l’Assemblée nationale, Christophe Mboso, celui du Sénat Modeste Bahati et le Conseiller spécial du chef de l’état en matière de sécurité, ont reçus par le Révérend docteur André Bokundoa, président national de l’ECC. Cette rencontre précise « 7SUR7.CD », intervient 24 heures après celle avec le Cardinal Fridolin Ambongo. 

Dans le reste de l’actualité. Gestion opaque du fonds généré par la taxe RAM, les agents de l’ARPTC en colère, saisissent l’inspection générale du travail. A en croire les agents de l’ARPTC, relayés par « OPINION-INFO.CD », les agents de l’ARPTC ont par le biais de débat politique à l’assemblée nationale, compris que l’employeur encaisse 25% de recettes de RAM.    

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Verified by MonsterInsights