FPI : Jean Claude Kalenga victime expiatoire des turpitudes héritées de ses prédécesseurs

Face à la réalité sur un affreux dossier de recouvrement des créances auprès des débiteurs insolvables, le Directeur-général ad intérim du Fonds de promotion de l’Industrie, FPI, Jean-Claude Kalenga, serait sur le point de payer la monnaie de sa pièce.

A la tête de cet établissement public il y a à peine 5 mois, le DG ai du FPI est placé dans le collimateur pour une affaire de mise en place d’une armée numérique qui vient saquer sa gestion dans les réseaux sociaux.

Il en ressort que certains “communicants” recrutés pour la besogne se disent, cependant, embarrassés du fait qu’ils ne savent pas trouver des éléments de langage solides pour engager une guerre contre ce DG a.i qui a à charge la mise en œuvre du programme présidentiel d’urgence de lutte contre la pauvreté et les inégalités.

La plus grosse surprise de cette campagne, selon des sources concordantes, serait montée par un ancien DG du FPI dont la gestion a été accablée dans un rapport parlementaire.

La question est d’autant plus importante qu’après lui, ses successeurs se voient obligés de redresser les erreurs de gestion qu’il a laissées et qui prennent du temps à être corrigées.

C’est, en effet, sous ce mandataire défaillant que le FPI s’est retrouvé avec un important portefeuille de projets financés sans qu’ils n’aient connu le moindre début d’exécution.

Un rapport d’enquête parlementaire y relatif avait aussi révélé des nominations fantaisistes des enfants, frères, sœurs et autres cousins, la plupart sans qualification notable.

Le même rapport avait révélé des bonds en grades des manœuvres qui passaient sans transition à des fonctions de direction.

Aujourd’hui ce faux manager s’est réfugié à l’Union sacrée où il entreprendrait à entraver le relèvement du FPI, plombant, au passage, la matérialisation de la vision du chef de l’État pour la lutte contre la pauvreté et les inégalités.

Raymond Befonda

One thought on “FPI : Jean Claude Kalenga victime expiatoire des turpitudes héritées de ses prédécesseurs

  1. Le FPI ne peut être prospère que par la gestion de ceux qui n’ont pas concouru à sa descente en enfer pendant les années 2008 à fin 2016.

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