Chanson racontée :ONASSIS ou la délation de la pédophilie en RDC.(illustration audio)

Le professeur de 65 ans surpris dans une chambre d’hôtel avec son élève de 15 ans

La série des buzz qui enflamme la toile Kinoise a été bien nourrie par cette dénonciation d’un professeur de 65 ans enseignant à l’école BERRE de l’église de Mama Olangi, avec son élève fille de 15 ans. Une chanson de Zaiko Langa Langa, intitulé  » Onassis » avait déjà lancé une sonnette d’alarme sur  la pédophilie qui est un délit ignoble qui ronge la société depuis la nuit des temps.Vu que ses auteurs sont souvent plus âgés, nantis et  haut-placés, leurs abus  sont rarement  sanctionnés.
Il fut même un temps où les législateurs avaient cherché à réajuster l’âge de la majorité féminine, dans le but inavoué de permettre aux pédophiles de perpétrer  leurs actes en toute impunité.

Le pédophile remettant ses chaussures sur le lit du crime


Face à l’inertie de la justice, nos artistes musiciens avaient entrepris de combattre la pédophilie avec le seul moyen à leur disposition, à savoir, la chanson.
C’est ainsi que Franco avait  lancé: »mwana moniga aleka kamata bonbon », et Bakuba : »Tika mwana » pour stigmatiser le comportement véreux de certains  responsables politiques.
Evoloko et le zaïko Langa-langa ont de leur part fait allusion au richissime ONASSIS, pour vilipender le harcelement d’une écolière par l’ami de son père. Des complaintes tels que « nakofunda yo na papa »,et « nalembi » en disent long.
Mais au lieu de se tourner vers son papa, c’est plutôt vers la justice que cette écolière et toute sa famille devraient s’adresser.Et ce pédophile mérite plus que la simple rupture des relations avec le père de la victime, mais un long séjour en prison.

Quant à notre pédophilie de professeur, ce sont les tenanciers de l’hôtel qui avaient pris l’option de dénoncer ce couple déséquilibré dont les galipettes ne cessaient de déranger des paisibles clients qui avaient trop supporté les gémissements de la jeune écolière, selon le procès verbal de l’Opj de la police saisi. L’église CFMC s’est dite très indignée par ce malheureux événement qui a terni l’image de cette institution religieuse. Dans un communiqué rendu public il y a deux jours, les responsables de cette église ont, clairement, signifié que le comportement de cet enseignant s’écartait de la philosophie même de l’école comme lieu d’éducation chrétienne.

Don Petit N’Kiar

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