Moins de 100 jours après son arrivée au Ministère des Finances, Doudou Fwamba Likunde a réalisé l’impensable, redressé les finances publiques de la République Démocratique du Congo.
Face à une situation critique où les dépenses d’urgence engloutissaient 20% de la trésorerie, le Ministre Fwamba a opéré un miracle, ramenant ce chiffre à 7% fin juillet 2024. Un exploit qui lui vaut le surnom de « miracle Fwamba ».
Comment a-t-il réussi à stabiliser les finances publiques en si peu de temps? En misant sur une gestion rigoureuse des dépenses publiques et un dialogue constructif avec les acteurs économiques. Cette stratégie lui a permis de réaliser un excédent de trésorerie de 1.057 milliards FC, équivalent à 400 millions USD, une situation inédite pour la RDC.
Cet exploit n’est pas sans conséquence, la confiance des investisseurs est en hausse, ouvrant la voie à des investissements dans les infrastructures et les services publics, et à la création d’emplois.
Mais le miracle Fwamba soulève également des questions : comment pérenniser cette stabilité ? La coordination accrue avec la Banque Centrale du Congo est indispensable pour garantir que cet élan ne soit pas freiné.
La RDC entrevoit un avenir économique plus serein si la dynamique actuelle se maintient. L’espoir d’une véritable renaissance économique est permis, mais la tâche reste immense.
Le « miracle Fwamba » est un signal fort pour l’économie congolaise. Il reste à voir si cette réussite se transformera en une véritable révolution économique.
Le patron des finances congolais a réussi à stabiliser les finances publiques de la RDC en moins de 100 jours. Il a réduit les dépenses d’urgence de 20% à 7%, et a réalisé un excédent de trésorerie de 400 millions USD.
Cet exploit pourrait relancer la confiance des investisseurs et booster l’économie congolaise.
La coordination avec la Banque Centrale du Congo est cruciale pour pérenniser cette stabilité. L’avenir économique de la RDC est encore incertain, mais le « miracle Fwamba » est un signe d’espoir et un point de départ pour un renouveau économique.
Glad NGANGA
Soyez le premier à commenter