L’Assemblée nationale entame ce jeudi l’examen du projet de budget 2025, nous apprend » *INFOS27 « . Si l’on s’en tient au communiqué
officiel diffusé hier mercredi par le rapporteur de l’Assemblée national Jacques Djoli Eseng’ekeli. Après avoir adopté 48 heures auparavant le rapport issu des analyses approfondies de deux projets de lois de finances présentés par l’Exécutif national, notamment le projet de
loi portant reddition des comptes 2023 et le projet de loi de finances rectificative du budget 2024 adopté, la voie est donc balisée pour entamer les discussions sur le projet de loi de finances 2025.
Aujourd’hui au Palais du peuple, Mobilisation générale des députés honoraires pour réclamer leurs droits. A en croire « LA RÉFÉRENCE PLUS « , le Palais du peuple, sera en ébullition ce jeudi 31 octobre. Des députés nationaux honoraires de la législature 2018-2023 et ceux réélus, s’y donnent rendez-vous pour réclamer leurs droits au gouvernement Judith Suminwa, avant que le vote du projet de Budget de l’exercice 2025 en examen à l’Assemblée nationale. Pour ces députés honoraires et ceux réélus aux élections de décembre 2023, il ne s’agit
pas de demander une faveur, mais réclament les droits dus.
Révision constitutionnelle. L’ECC, écrit » MEDIACONGO « , considère la démarche comme étant une simple idée émise par le président de la République, Félix Tshisekedi. D’après Maurice Mondengo, directeur de la communication, presse et relation publique de la présidence nationale de l’ECC, l’Église protestante attend que cette démarche soit transformée en initiative politique avant de donner sa position.
De leur côté, les laïcs catholiques redoutent un nouveau mandat de Tshisekedi, souligne » OURAGAN.CD« . Regroupés au sein du Comité laïc de coordination, les principaux animateurs pensent que lancer un débat sur la révision ou l’adoption d’une nouvelle Constitution pourrait aggraver les tensions déjà vives dans le pays, alors que les crises militaire, humanitaire et sociale persistent
Le CLC dit non à un «Front constitutionnel», titre de son côté » LE PHARE « . Ses animateurs, le professeur Ndaywel en tête, plaident pour une large concertation entre représentants des forces vives de la Nation, pour dégager un compromis en ce qui concerne l’option définitive à lever, et se mettre d’accord ensuite sur les « dispositions » constitutionnelles à modifier ou le nouveau texte de la « loi fondamentale » du pays à soumettre au référendum populaire.
Après la Cenco etl a plateforme des confessions religieuses, c’est désormais l’entrée en scène du comité laïc de Coordination dans ce débat autour de la révision ou du changement de la Constitution, affirme « LA PROSPÉRITÉ « . Tout en appelant à une concertation préalable des forces politiques et sociales et, ce mouvement catholique fait savoir qu’il est inopportun, dans les circonstances actuelles, d’amorcer un débat public sur la révision ou la production d’une nouvelle constitution.
Veut-il changer la constitution en révisant les articles qui bloquent le bon fonctionnement des institutions ou changer carrément de constitution en adoptant une nouvelle avec comme
conséquence la possibilité de postuler à un troisième mandat, se demande » E-JOURNAL « ?
Coopération. Le président de la RDC, Félix Tshisekedi, a été reçu hier mercredi à Entebbe par son homologue ougandais, Yoweri Museveni. Selon » *RFI.FR* « , les deux hommes ont échangé longuement sur l’opération militaire conjointe menée par leurs deux armées dans l’Est de la RDC contre le groupe armé d’origine ougandaise ADF. Ils ont également abordé la question des tensions croissantes entre Kinshasa et Kigali, alimentées par les avancées du M23 dans le Nord-Kivu.
Kinshasa et Kampala, ajoute » FORUM DES AS « , sont déterminés à traquer les ADF, ce groupe terroriste ougandais qui continue à semer la terreur dans l’est de la RDC. Le président congolais Félix Tshisekedi et son
homologue ougandais, Yoweri Museveni, ont évoqué le sujet hier mercredi lors du
tête-à-tête qu’ils ont eu à Entebbe.
Lors de ses échanges avec le Président Félix Tshisekedi, ajoute » RADIOOKAPI.NET « , le Chef de l’État ougandais,Yoweri Museveni, a réitéré son engagement de construire les routes Kasindi- Beni-Butembo et, éventuellement, la route Bunagana -Rutshuru -Goma.
De son côté, » LA TEMPÊTE DES TROPIQUES « , espère que les discussions ont été sincères dans l’intérêt de la paix entre les deux États et dans la région de Grands Lacs.
Pour sa part, écrit « LA RÉFÉRENCE PLUS « , la question que le commun des mortels congolais se pose, avec ce tête-à-tête, est-ce le retour d’une coopération sincère entre la RDC et l’Ouganda, où encore un autre marché des dupes ? Connaissant la perfidie du régime de Kampala, seul l’avenir nous le dira car, Félix Tshisekedi a tant prouvé sa bonne volonté d’un bon voisinage sincère et gagnant-gagnant, mais avec les dirigeants de l’Ouganda et du
Rwanda, il a été toujours poignardé dans le dos par ces deux homologues.
Après l’étape de l’Ouganda, le Président
de la République, Félix Tshisekedi, nous apprend « LA PROSPÉRITÉ « , s’est rendu hier, mercredi, à Bujumbura, au Burundi, pour participer aux travaux du 23ème Sommet du Marché commun d’Afrique orientale et australe (Comesa) dont le démarrage intervient aujourd’hui.
Autre chose. Le crash d’un hélicoptère militaire à l’aéroport de Ndolo fauche la vie à 3 personnes. L’incident, explique « LA PROSPÉRITÉ« , s’est produit aux alentours de 11 heures, lors de l’atterrissage de l’appareil sur la piste militaire de l’aérodrome.
Des indiscrétions du journal » LA TEMPÊTE DES TROPIQUES « , renseignent que l’appareil était en essai technique, et qu’il
fallait le rôder pour évaluer sa fiabilité. On a failli revivre le drame de Type K, n’eût-été l’ingéniosité du pilote qui a évité de crasher sur ledit marché, conclut le tabloïd.
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