Tshopo: un homme supposé mort et enterré à Basoko est retrouvé à Kisangani par sa propre mère !

Ville de Kisangani

l’Afrique noire a ses réalités difficilement descriptibles ! C’est vraiment le cas de le dire encore aujourd’hui au regard de l’événement qui vient de se passer à Kisangani, chef lieu de la province de la Tshopo.

Fait relevant de l’insolite absolue ! Une femme a retrouvé vivant son fils décédé il y a deux ans à Basoko, territoire situé dans le district d’isangi, à plus moins 350 kilomètres de Boyoma Singa Mwambe.

Des sources concordantes locales affirment que cette trouvaille avait eu lieu au début de cette semaine dans une banque locale. Cette femme y était venu retirer un peu d’argent et la solde de son défunt mari militaire et celle de son fils policier décédé. Coïncidence étrange, elle croise son fils policier déjà défunt il y a deux ans venir lui même retirer son salaire !

À en croire les versions, ce serait la maman qui aurait reconnu son propre fils. Elle aurait exhibé des photos de ses funérailles et de l’enterrement.
Et pour convaincre les curieux, elle aurait révélé des signes physiques de son fils marquetés sur son dos. Et les faits seraient avérés. Actuellement, le revenant serait entre les mains de la justice pour raison d’enquête ! Il aurait été amené au commandement de la ville.

Rien d’extraordinaire dans cette histoire à laquelle beaucoup auraient effectivement du mal à donner crédit. Des commentaires des anonymes font état que ce phénomène qui serait fréquent dans le milieu rural de la province de la Tshopo s’appellerait  » Ndimo », chez le peuple Lokele, tribu de la sénatrice Madeleine Nikomba, « Fonoli » chez Mbole, tribu du professeur Bongeli, Monama » chez la VPM Eve Bazaiba, est monnaie courante, non seulement dans cette partie de la République Démocratique du Congo, mais un peu partout sur l’ensemble du territoire national congolais.

Une personne peut mourir visiblement et enterrée avec tout son corps physique dans tel endroit pour réapparaître quelques années plus tard à un autre endroit, soutient un vieillard du territoire questionné sur cette affaire mystérieuse.

Et d’ajouter que généralement ils ne seraient pas définitivement morts. Seuls leurs esprits quittent momentanément leurs corps pour aller travailler dans la brousse pour le compte de leurs bourreaux. Les esprits captifs reprennent vie normale à la fin du corvée auquel ils étaient soumis à titre de châtiment.

Et de conclure que très souvent ces  » revenants  » reappaissent dans le monde des vivants en accusant une certaine déficience intellectuelle dans le but de ne pas relater ou commenter normalement leur séjour dans les villages des ténèbres.

Commentant à sa manière l’événement, une femme s’était même rappelée d’un homme décédé toujours à Basoko, mais que les gens l’ayant connu l’ont retrouvé 8 ans après à Bumba. Une histoire authentique , car l’homme retrouvé vivant serait même arrivé à Kinshasa pour faire des témoignages dans certaines églises, le pasteur Lisungi.

Un anonyme affirme de sa part que cette pratique sorcière existerait même à Haïti. En effet, 24h après son enterrement, la dépouille mortelle est déterrée. Réanimé par le fait d’une certaine sorcellerie, le mourrant serait amené à vivre dans un autre endroit tout en accusant des symptômes de démence. On les appellerait là-bas des « Zombies ».

Dephil Philippe Lipo

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