Tracasseries policières à Kinshasa : un signe de faiblesse du régime de Tshisekedi (vidéos d’illustration)

On ne le dira jamais assez, celui qui est capable pour les petites choses, le sera pour les grandes et c’est le cas avec le régime de Tshisekedi fils. En effet, depuis la passation de pouvoir entre le Président actuel et son prédécesseur Joseph Kabila, la population déplore le fait que le statu quo s’observe dans plusieurs domaines dont la police nationale ville de Kinshasa. Les mêmes comportements que l’on dénonçait sous l’ancien régime semble s’accentuer au vu et au su de tout le monde et les autorités sensées mettre de l’ordre s’en complaisent car c’est la même voie qu’elles prennent pour rejoindre soit leur bureau ou leur domicile et où sont placées tous ces policiers de roulage.

Ce n’est pas pour la première fois que l’on soit surpris par des vidéos qui disent long sur la corruption tant décriée par le pouvoir actuel quand l’Udps était encore au front. Mais, une fois au pouvoir, rien de nouveau s’observe, c’est même le pire comme bon peut le voir dans cette vidéo où un Opj est arrêté pour s’être substitué à une régie financière de l’état lors de l’interpellation d’un conducteur de véhicule.

Après son interpellation par le numéro un de la police ville province de Kinshasa Silvano Kasonga, on ne sera pas surpris de voir le même policier dans la rue.

La jeep ou rien

Les voitures de grande marque sont souvent la cible de tous ces policiers véreux comme on peut le suivre sur cette vidéo où les agents de l’ordre sont préoccupés par le conducteur d’une jeep alors qu’une petite voiture dénommé  » ketch » s’affaisse à cause d’une grande charge qu’elle porte. Cependant les policiers conscients ne s’y sont guère intéressés.

Devant ce tableau si sombre, il y a de quoi se demander à qui la faute?

Certains témoins découragés par ces pratiques se demandent s’il y a vraiment des dirigeants conscients dans ce pays :

 » Pourquoi le chef de l’état continue à garder les mêmes autorités de l’année, de la police et autres institutions qu’il a trouvé ? Est ce qu’il manque des gens capables de faire le même travail ? ».

Il n’y a pas des mauvaises troupes, il n’y a que des mauvais chefs, dit-on.

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