Société :Vaste réseau de « deal » à Kinshasa

 » C’est de l’argent facile ! On peut se faire même 500 dollars par jours…! « , s’esclament les jeunes filles qui se prostituent dans des hôtels huppés.

La prostitution se porte à merveilles en République Démocratique du Congo où elle est pourtant un délit contrairement à un pays comme le Nigeria.
Le plus vieux métier du monde qui constitue pour une fille à livrer son propre corps aux plaisirs sexuels d’un homme pour gagner de l’argent et aussi d’en faire un métier professionnel. ‘

La prostitution ne continue plus pour les adonnés à ce sale besogne à aller se poster devant des maisons des passes du coin, fréquenter les night clubs, se balader en tenue d’Adam le long de grandes artères de la ville dans les heures nocturnes. De nos jours, des témoignages concordants renseignent incroyablement qu’une nouvelle forme de la prostitution est déjà en vogue dans la capitale de la Rdc depuis près d’une décennies.

Nommé  » deal  » cette nouvelle forme de  » kindumba  » se distingue de l’ancienne en ce sens qu’elle serait surtout le domaine privilégié des femmes intellectuelles, dont des étudiantes et celles issues des familles aisées, mieux riches.

 » C’est de l’argent facile ! Elle peut même gagner 500 dollars par jour…! « , s’esclament joyeusement les préférées de ce que d’aucuns considèrent à tort ou à raison comme une prostitution de luxe. Le gain à tirer de cet acte illicite est tel que beaucoup de filles à la quête effrénée d’une vie de mille étoiles sur cette terre éphémère y tombent assez facilement. Le deal pousse des jeunes étudiantes et autres à s’y livrée au risque et péril de leur vie en ce sens qu’elle offre l’occasion pour ces autres filles de joie de notre temps à des soirées huppées, des voyages luxueux, des séjours dans certains villes du pays, des passes dans des hôtels somptueux d’un pays étranger. Au delà de ces bénéfices moraux, ces travailleuses de sexe peuvent empocher jusqu’à un montant de 2500 dollars pour une séance de jambes en l’air avec des mecs, des hommes autrement autrefois Inconnus à qui des jeunes gens ont commissionné pour leurs rencontres.

Malheureusement, certaines indiscrétions fovt état que plusieurs filles s’en sortent plutôt trompées, désabusées, violées et escroquées par de vrais aventuriers dont certains passent pour des donneurs de chance et bonheur aux jeunes filles pour devenir de grandes femmes d’affaires et autres personnalités dans les domaines où chacun opterait.

En rapport à cette situation que nous sommes en train d’évoquer partiellement, un profit Facebook et Instagram se cachant sous le nom de Molakisi nationale avait enflammé la toute tout au long de la semaine écoulée. Des réactions d’internautes ont été pitoyables et plusieurs commentaires ont confirmé à 100% l’existence de ce phénomène malheureux qui frappe la jeunesse féminine congolaise à cause de son naïveté.

Aujourd’hui, toutes les filles accrocs aux réseaux sociaux savent qu’il existe effectivement un réseau qui active cette affaire composé de plusieurs anonymes. Et pour avoir ses chances d’être prises, bon nombre n’existe.pas de s’afficher presque en tenue d’Adam sur leurs profils. Des PD et autres jeunes et adultes déambulent ici et là pour se mettre à repérer les jeunes filles parmi les plus belles qui sont convoitées ordinairement par des riches hommes et mêmes des hommes politiques d’un certain âge en perpétuel vagabondage sexuel.

Notre première publication en rapport avec le deal à Kinshasa n’a qu’une seule visée. Celle, à l’instar d’autres y relatives, de faire prendre conscience aux dirigeants politiques du pays et au commun de mortels de l’existence de cette nouvelle forme de  » Kindumba  » à Kinshasa particulièrement. Un phénomène, à encore des indiscrétions, serait en vogue de cette mégapole de près de 15 millions d’habitants depuis près d’une décennie.

La prostitution étant un délit avéré en République Démocratique du Congo, il va de soi que des autorités à tous les niveaux prennent désormais des solutions adéquates quant à ce. Identifier et démanteler ce réseau de deal, et punir d’une manière tous ceux qui y sont de loin ou de près impliqués.

Même si aucune adonnée ne peut témoigner à visage découvert ce qui leur arrive ultérieurement à la suite de leurs rencontres amoureuses avec des gens qui auraient plus d’âge que leurs propres géniteurs, il pourrait être vrai de supposer que ces femmes seraient juste des victimes de quelque chose d’occulte dont elles ne s’en rendraient pas compte ! En fait, Plus de 1500 dollars pour un jeu de Papa et maman à Dubaï, à Lubumbashi, à Goma, à Kigali, à Nairobi ou en Afrique du Sud ne serait pas pour ces hommes là de l’argent jeté à la poubelle. Qu’est ce qu’ils tirent réellement de leurs actes sexuels avec ces demoiselles ? Chacun de nous est appelé à faire ses propres trouvailles à ce sujet, et naturellement d’en partager avec autrui !

Qui vivra verra !

Philippe Dephill Lipo

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *