Sénat: Le caucus des sénateurs de la Grande orientale a tranché: Carole Agito à la questure!

Les 12 sénateurs originaires de la Grande Province Orientale ont départagé les potentiels candidats au poste de Questeur du bureau définitif du Sénat le jeudi 18 février dernier. 6 candidats au total se sont présentés pour briguer ce poste aussi alléchant. La Tshopo en elle même a aligné 3 candidats dont Fikiri Dieudonné, Bayukita James et Nikomba Madeleine. Le sénateur Jean Bakomito a représenté le Haut-Uélé et le Bas-Uélé a eu deux candidats à savoir: la sénatrice Carole Agito et Papy Bazego.

Tout le monde d’accord

Avant le vote une mise au point important a été prise quant à l’issu de l’élection: la Grande orientale ne devrait donner le nom d’un seul candidat au poste de Questeur et que la personne qui passerait devrait avoir le soutien de tous ses frères et soeurs.

Après dépouillement, la sénatrice Carole Agito pris une longueur d’avance devant tous les autres avec en elle seule 5 voix sur les 12 votants. Le sénateur Jean Bakomito reçu 3 voix, c’est à dire deux voix de deux sénateurs du Haut-Uélé sa circonscription et sa propre voix. Le reste du peloton reçu chacun une voix, soit , chacun sa propre voix.
Ainsi, la sénatrice Carole Agito, élue du Bas-Uélé, fut élu candidat unique pour le compte du caucus des sénateurs de la Grande Orientale.

Il faut noter que l’élection des membres du bureau définitif est prévu le lundi 02 mars et le dépôt de candidature interviendra ce mardi 23 février.

La candidate du caucus des sénateurs de la Grande orientale, Carol Agito, figure bel et bien sur la liste du ticket gagnant de l’Union sacrée de la nation, USN, au poste de Questeur.

La sénatrice Carole Agito, prête à prendre la questure

Les 12 sénateurs du caucus de la Grande orientale sont naturellement appelés à élire leur unique candidat et soeur, en la personne de la sénatrice Carole Agito sans tergiversation. Ceci va de la notoriété et de l’honneur de ce grand pool économique qui a du mal à décoller faute d’un leadership fort. Au vu de son expérience dans la gestion et le management politique, il y a de quoi laisser cette brave dame gérer la trésorerie de cette chambre aussi importante surtout quand on sait ce que l’ancien bureau a laissé comme déficit.

Jacques Kalokola

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