Sabotage du projet Tshilejelu : une démarche contre le projet Grand Inga.

Il s’observe depuis quelques jours, après la nouvelle composition du nouveau cabinet du Chef de l’état, une diffamation sans précédent, sur le Projet Tshilejelu. Ce qui constituerait un manque à gagner pour un pays en voie de développement comme la République démocratique du Congo. Tout ce que les détracteurs de l’initiateur attitré du projet Tshilejelu, Alexy Kayembe de Bampende, ignorent est que ce projet qui entre dans les actifs du premier mandat du Président de la République Félix Tshisekedi est salutaire pour des milliers des congolais.

Alexy Kayembe, concepteur attitré du Projet Tshilejelu

Gros plan sur un projet très attendu

Des messes noires et machiavéliques se tiennent loin des congolais épris du développement de leur pays avec une seule option de dérailler le projet Grand Inga. Ces rencontres qui avoisinent la sorcellerie sont à, vigoureusement, décourager, au vue des enjeux majeurs qui attendent le pays de Lumumba dans le concert des nations.
Seulement voilà :
Pour rappel, ce projet avec les australiens de Fortescue a vu le jour sous la coalition FCC-CACH et l’ancien Premier Ministre Ilunga avait déjà vu l’effet transformateur que ce projet pourrait avoir pour toute la RDC. C’est ainsi qu’avec le Conseiller Spécial du Chef de l’Etat en matière d’Infrastructures traitant encore les affaires courantes, Alexy Kayembe de Bampende, ils se sont investis auprès du Chef de l’Etat pour qu’un protocole d’accord soit signé afin que les études de faisabilités puissent démarrer.

Alexy Kayembe, un allié de taille de Félix Tshisekedi


Depuis la signature de ce protocole d’accord en septembre 2020, les discordances à la Présidence ainsi qu’au gouvernement ont ralenti la phase d’exécution des études. Fortescue qui a ouvert une filiale en RDC et emploie plusieurs Congolais, a connu maintes difficultés administratives malgré le soutien du Chef de l’Etat par le biais du Conseiller Spécial Kayembe. C’est ainsi que les deux parties ont renégocié ce protocole d’accord afin que chacune des parties puisse l’améliorer notamment pour la partie congolaise d’y insérer les principes fondamentaux énoncés par le Chef de l’Etat pour un partenariat gagnant-gagnant.
Ces négociations ont connues la participation des membres du Cabinet du Chef de l’Etat, du gouvernement et de la société civile. Tous ont validé ce nouvel accord et l’on même qualifié de « meilleur accord » où l’Etat ainsi que le peuple congolais voient leurs intérêts non seulement sauvegardés mais aussi protégés. Cet accord attend la signature du gouvernement de la RDC pour permettre le début des travaux préliminaires dans les 3 mois. Le Chef de l’Etat s’exprimant à Davos a affirmé que la conclusion de cet accord trainait encore.
Cependant, maintenant que le Chef de l’Etat réorganise son cabinet, l’occasion s’est présentée pour la mise en exécution de ce plan machiavélique visant le Conseiller Spécial Kayembe avec des mensonges imputables en justice, sur un projet totalement déconnecté du projet Grand Inga, à savoir le projet Tshilejelu. L’OVD et CREC 7 ont déjà fait leurs mises au point et l’IGF avait aussi blanchi les intervenants dans ce projet.

Une instrumentalisation de la justice en gestion

Dans le souci de déstabiliser le concepteur attitré de ce grand projet, les meneurs en eaux troubles ne sont pas de tout repos. Des sources concordantes, il est établi à ce jour que les mêmes rêveurs seraient en œuvre pour mener en bateau la justice congolaise qui s’activent à réaliser le vœu du chef de l’état de faire de son pays « un état de droit » dans le vrai sens du mot.

Ils envisageraient, ainsi, de couler ce grand esprit qui n’est autre que Alexy Kayembe sur ce dossier vide, afin de l’humilier et impacter négativement le projet Grand Inga.

Ainsi, comme la société Fortescue est cotée en bourse, cette situation découragerait cette dernière à poursuivre le projet Grand Inga et la RDC perdrait alors son meilleur partenaire pour ce projet et hypothéquerait l’avenir des futures générations.

Un projet salutaire
Il y a lieu de rappeler ici que l’enjeu est de taille dans ce projet. En effet, avec un potentiel de production de plus de 10 millions de tonnes d’hydrogène vert par an, le carburant de demain, le projet Grand Inga génèrera plus de 100.000 emplois directs et jusqu’à 500.000 emplois indirects. Le PIB de la RDC augmenterait de plus de 200% et ce projet prévoit la mise en place d’un fonds appelé « Fonds Inga » qui bénéficiera d’une quotepart de 5% des investissements du projet Grand Inga. L’électrification des zones rurales et péri-urbaines trouvera ainsi les financements nécessaires et le plan directeur de l’industrialisation de la RDC trouvera aussi l’électricité nécessaire à son exécution.
Comme le révèle notre source, un groupe des congolais qui n’apprécient pas que les choses avancent ne veut pas que ce projet qui fera passer la RDC dans le cercle des pays en voie de développement, puisse entrer dans l’actif du Président Félix Tshisekedi.
Toute la nation congolaise devrait être tenue en alerte générale quant à ce.

Une mise au point importante de Félix Tshisekedi à Davos

Dans son interview exclusive accordée aux journalistes de Bloomberg, lors du sommet de Davos en Suisse, le chef de l’état a éclairé la lanterne de plus d’un curieux dont voici quelques extraits :
« Vous savez, les Chinois sont les champions des discussions marathon », a déclaré Tshisekedi. Et de poursuivre :

« Ils sont connus dans le monde entier pour cela. Nous vivons cette expérience maintenant et donc, nous verrons, mais nous restons optimistes. »

Très préoccupé par la finalisation de ce grand projet dont seul son Conseiller spécial Alexy Kayembe a su mener à bon port, le Président de la République a porté cette grande précision :
« Les négociations traînent également sur le site de Grand Inga avec l’australien Fortescue Metals Group Ltd., qui a un protocole d’accord avec le Congo pour développer ce qui pourrait être le plus grand projet hydroélectrique du monde. »


Un vrai challenge pour les Investisseurs africains

Accolade entre Andrew Forrest et Félix Tshisekedi


Le président souhaite que Fortescue permette à d’autres investisseurs de participer à l’accord, en particulier ceux originaires d’Afrique, et éventuellement de réduire ses ambitions afin d’accélérer le développement:
« Nous ne sommes pas sur la même longueur d’onde. »

Il a aussi ajouté qu’il avait rencontré à Davos, Andrew Forrest, le président milliardaire de Fortescue:
« Nous voulons en faire une sorte d’opportunité pour unir également d’autres intérêts, en particulier les intérêts africains , Nous sommes ouverts à tout, à toutes les discussions, à toutes les rencontres. », a-t-il insisté.

Les assurances de FFI.

Dans la même lancée, le directeur de communication du chef de l’état a confirmé que les discussions avec Fortescue se poursuivent. Il a, ensuite, précisé que Fortescue Future Industries Ltd. prévoit d’utiliser l’énergie d’Inga, qui pourrait éventuellement être deux fois plus puissante que le projet chinois des Trois Gorges, pour produire de l’hydrogène vert et de l’ammoniac vert.

Dans une réponse par courrier électronique à une demande de commentaires, le directeur général de FFI, Mark Hutchinson, a soutenu cette thèse en ces termes :
« La société est en « discussions actives » sur le projet. Tshisekedi prévoit de se rendre en Australie pour poursuivre ces pourparlers.
Fortescue a une équipe en RDC et continue de travailler en étroite collaboration avec le gouvernement pour faire avancer les choses. Fortescue souhaite la bienvenue à d’autres partenaires dans cet important projet. »

Et au chef de l’état congolais, Félix Tshisekedi Tshilombo, de boucler la boucle :
« Il n’y a pas de calendrier pour la prochaine phase d’Inga, le projet de 10 gigawatts connu sous le nom d’Inga 3.

In fine, Alexy Kayembe reste un interlocuteur valable et viable dans ce grand projet au delà de toutes les tractations de mauvais goût qui risquent d’hypothéquer l’avenir du Grand Congo.

Qu’on se le dise!

DPN

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