Changement de la Constitution, ECONEWS, évoque une forte pression sur Kamerhe, Sama, Bahati et Bemba. Le présidium de l’USN aurait pressé Kamerhe, Bahati et Bemba à se prononcer en faveur du changement de la Constitution, sous peine de subir les conséquences de leur refus. Des conséquences qui déboucheraient à leur éjection de la plateforme présidentielle et la perte de leurs fonctions assorti de leur versement dans l’opposition. L’on n’en est pas encore là, mais il y a des signes qui ne trompent pas, souligne le tabloïd.
Une manifestation a été organisée hier mardi devant le Palais royal de Bruxelles. Selon AFRICANEWS, les femmes RD-congolaises vivant en Belgique ont manifesté devant le palais royal de Bruxelles, pour dire non au soutien que les autorités belges accordent aux dirigeants de la RDC. Elles ont déposé une lettre ouverte aux services du palais, destinée au Roi Philippe dans laquelle elles dénoncent entre autres la dictature qui s’est installée en RDC, les enrichissements illicites des ténors du régime, des tueries et des arrestations arbitraires des opposants et défenseurs des droits de l’homme, ainsi que la détermination du Président Tshisekedi de vouloir modifier certains
articles de la Constitution en vue de s’éterniser au pouvoir.
Dans sa stratégie de promotion de l’idée de révision ou de changement de la Constitution, l’UDPS, écrit CONGO NOUVEAU, s’emploie à discréditer dans l’opinion tous ceux qu’elle présente comme ayant été ses alliés dans le combat contre la Constitution en 2005. Par cette démarche diabolisatrice, Augustin Kabuya, qui concentre sur lui-même les fonctions de Président et de Secrétaire
Général du parti présidentiel, brocarde ceux qu’il présente faussement comme ses alliés d’hier, précisément le clergé catholique qu’il identifie désormais sous le qualificatif dénigrant de « politiciens en soutane », le même vocable utilisé en son temps par la kabilie contre les mêmes prêtres catholiques lorsque ceux-ci menaient le même combat qu’aujourd’hui, c’est-àdire dire non à la révision de la constitution.
Politique encore. Selon » L’AVENIR « , la 7ème journée de la Base a été commémorée hier mardi dans quasi toutes les fédérations de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, parti présidentiel, qui avait prévu des manifestations.
Processus électoral. » AFRICANEWS » rapporte que le président de la CENI, Denis Kadima, a ouvert, hier mardi, un atelier d’évaluation à mi-parcours du processus électoral 2021-2024. Dans son mot d’orientation stratégique, le patron de la
CENI a relevé que l’équipe qu’il dirige, a immédiatement engagé un vaste chantier de reformes pour moderniser l’institution et renforcer sa crédibilité
Autre chose avec ce scandale au site Touristique de la N’sele. A en croire CONGO NOUVEAU, le DG fait passer certains agents et Cadres comme morts juste pour les remplacer.
Le SG Mongopasi Sandja aux arrêts pour détournement de fonds publics. Des sources proches du ministère des Ressources hydrauliques et Électricité, LE PHARE, apprend l’arrestation du SG Mongopasi Sandja Pelé.
Dans un autre chapitre. Initialement prévue ce mercredi, la clôture des États généraux de la justice est repoussée de 72 heures. Cette décision, affirme » INFOS27, a été annoncée par le ministre de la Justice, Constant Mutamba, après le dernier panel animé dans le cadre de ces assises.
Le ministre de la Justice, Constant Mutamba, renchérit FORUM DES AS, a annoncé cette prolongation afin de permettre aux participants de poursuivre leurs réflexions en ateliers et d’approfondir les propositions pour réformer le système judiciaire congolais.
Entre-temps, ECONEWS, nous apprend que les participants aux états généraux de la Justice ont été repartis en neuf commissions pour une thérapie de choc. Les neuf commissions ont pour mission de bâtir les fondations d’une Justice plus forte, respectueuse des droits et conforme aux standards internationaux.
Pendant ce temps, écrit LA RÉFÉRENCE PLUS, les syndicats des magistrats de la RDC, qui prennent également part aux Etats généraux de la justice, ne croient plus à l’issue favorable de ces assises.
Dans un communiqué conjoint, ces syndicats à l’occurrence le Syndicat autonome des magistrats du Congo (Synamac), la Justice indépendante
(Jusi), le Syndicat chrétien des magistrats du Congo (Synchremac) et le Syndicat des magistrats du Congo (Symco) soulèvent plusieurs irrégularités qui handicapent le déroulement normal de ces travaux. Les magistrats, souligne de son coté « LE POTENTIEL », ont relevé plusieurs problèmes dans l’organisation de ces travaux, notamment l’exclusion du Conseil supérieur de la magistrature et d’autres acteurs clés de la justice, la présence
de plus de 3 500 participants, majoritairement des étudiants et des militants des partis politiques, ainsi que la faible prise en charge des participants, en particulier des magistrats venus des provinces.
Les syndicats, écrit pour sa part RFI.FR, dénoncent aussi le fonctionnement occulte du secrétariat des états, dont les membres ne sont pas connus des participants.
Par ailleurs, rappelle AFRICANEWS, avant même le début de ces assises des états généraux de la justice en RDC, l’ONG Justicia ASBL avait manifesté des préoccupations, reprochant au programme de privilégier les interventions de politiciens souvent sans expertise dans les questions judiciaires, et exprimant la crainte que les débats ne se transforment en tribune politicienne plutôt qu’en forum de réforme concrète.
En société, LE PHARE, dénonce des embouteillages à Kinshasa qui devient invivable. Ni le sens unique alternatif sur le boulevard du 30 juin, l’avenue colonel Mondjiba, l’avenue du Tourisme et la portion de l’avenue Poids Lourd com- prise entre la Gare Centrale et le passage à niveau de Bralima, ni la suppression du carrefour de l’Apocalypse sur le boulevard Lumumba au niveau du quartier I, à Ndjili, ni le renforcement des effectifs des policiers aux carrefours, encore moins la mobilisation des fourgons et jeeps de la police, n’ont pu soulager les usagers de la route.
Le réseau routier Kinois connait une détérioration considérable dans son ensemble. Une situation qui est à l’origine de certains cas d’embouteillages dans
la capitale Congolaise, laissant ainsi un désarroi dans l’opinion publique s’interrogeant sur la politique publique mise en place par les autorités de ce secteur en vue de trouver des solutions adéquates à ce sujet. La régulation de la circulation en sens unique pendant les heures de pointe ne semble vraimen pas résorber ce phénomène d’embouteillage dans la ville-province de Kinshasa.
Constat fatal fait par l’opposant Martin Fayulu dans son compte X, consulté par LA PROSPÉRITÉ.
Pour Martin Fayulu Madidi, ajoute MEDIA CONGO, la seule solution pour résoudre ce problème, c’est de désigner des dirigeants compétents.
Pendant ce temps, dans un communiqué parvenu hier mardi à FORUM DES AS, le ministère provincial des Infrastructures et Travaux publics annonce la fermeture de l’avenue Rwakadingi. Pour cette raison, ledit ministère demande aux commerçants exerçant sur cette avenue de prendre des dispositions pour dégager. Le document précise que cette fermeture est consécutive aux travaux de la mise en œuvre du projet de modernisation de
cinq artères autour du Marché central de Kinshasa. Cette première étape de la rénovation de la voirie publique en béton armé, lancée le 26 octobre dernier par le gouverneur de la ville de Kinshasa, Daniel Bumba, débute ce mercredi 13 novembre sur le tronçon compris entre les avenues
Kasa-Vubu et du Marais.
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