
Le pasteur auteur-compositeur de l’église de Brabham connu sous le nom de Lifoko du ciel a été visité par des malfrats dans la nuit du vendredi 09 au samedi 10 décembre à 1h38′ à Lubumbashi. On a compté plus d’une dizaine de bandits armés qui ont pris d’assaut la résidence de ce oint comme l’a annoncé son secrétaire, Aigle Massengo.
« Nous signalons aux croyants sous la conduite du Pasteur Lifoko et à tous les proches et aimables de Dieu que c’est à 1h 38′ que nous avons eu la visite de plus de 10 assaillants armés qui ont fait irruption dans la résidence du Pasteur Lifoko du Ciel. Le gardien a été molesté. C’est ainsi que l’enfant du nom de frère Matondo a pris l’initiative d’ouvrir la porte pour secourir certainement le gardien. Immédiatement,les malfrats ont mis la main sur lui, et l’ont frappé…il a été blessé et ligoté [par ces bandits ]. Ensuite, ils ont aussi lié Mr Christian avant de casser le studio qu’il occupe. Rapidement, la ménagère avait pris le soin de fermer la porte principale, ce qui les a énervés et ont cassé les vitres de la fenêtre« , a-t-il témoigné.
Et d’ajouter : « En étant devant la fenêtre, ils ont vu le petit Michael qui est de grande taille, l’un d’eux a crié, voici le Pasteur! Quelques secondes après, c’est un assaillant qui vient vérifier et déclarer par la suite ‘ce n’est pas lui le pasteur’. Comme ils voulaient savoir où est le Pasteur, J’ai répliqué qu’il a passé nuit à l’église pour la prière. Ils m’ont obligé d’ouvrir la porte, je leur ai demandé de quoi ils avaient besoin. Ils m’ont dit qu’ils avaient besoin de Makuta (Argent)et tous nos téléphones. Ils se sont alors dirigés vers la la fenêtre de la chambre du pasteur, ils l’ ont cassée. Cela m’a conduit de prendre vite l’argent chez le pasteur puis je le leur ai remis… »
On se demande qui pourrait bien intenter à la vie de ce serviteur de Dieu qui n’a, jusqu’à présent, été sujet de scandale, contrairement à la majorité de ses collègues pasteurs stars.
Pour un criminologue qui a requis l’anonymat cela ressemblerait à un règlement de compte. Une affaire de femme ? Qui sait!
Don Petit N’Kiar