On se demande bien quelle » Mea culpa » le Saint père pourrait présenter aux peuples congolais par cette parjure qui n’a pas encore trouvé une configuration.
Seul un envoyé du Pape, le premier ministre du Vatican selon un communiqué provenant de la Cenco, va dire une messe devant l’église corps du Christ du Congo pour soulager, tant soit peu, l’attente des milliers des âmes qui espéraient une prière de paix et réconciliation comme prévue.
« Le Pontife a décidé d’envoyer « son éminence Pietro Cardinal Parolin, secrétaire d’État de Vatican pour prier avec nous le 3 juillet », rapporte un petit message de la Cenco.
L’envoyé du saint père est l’équivalent du Premier Ministre de l’État du Vatican. « Cette visite ne se substitue pas à celle du pape », indique le message de la Cenco.
Mais, seulement voilà : le service de sécurité du Pape a été alerté par les services rwandais de ne pas se foutre dans ce règlement des comptes entre les deux voisins belligérants.
Le M23 appuyé par le Rwanda a rappelé à François que l’église catholique avait déjà été trop cité dans le génocide rwandais sans oublier ses scandales dans la pédophilie.
Cette peur bleue a, sensiblement, réduit la détermination du président de Vatican, à dire une messe à Kinshasa comme à Goma.
La seule raison reste « le genou » du remplaçant de Jésus sur terre qui va se retrouver dans le froid au Canada en juillet prochain fait défaut comme le commente un internaute :
« Mais le genou du Pape peut bien marcher au Canada malgré le froid ».
Quand on pense à la mobilisation de l’état congolais qui a déboursé des milliers des dollars pour l’arrivée de st François avec un podium papal qui a coûté une somme mirobolante disputée entre les détourneurs » Fatshistes », il y a de quoi dire que:
» le Congo n’a pas, vraiment, pas de chance ».
Seuls Dieu sait si le saint père va encore inspiré confiance à la première église catholique en termes de fidèles en Afrique centrale, une église déjà dégarnie deplusieurs de ses fidèles qui ont trouvé refuge dans les églises pentecôtistes.
Non, Papa sum!
Sam Nzita !
