RDC : les autorités appelés à promouvoir les droits de la femme de travailler en dehors de leurs ménages.

Lancement ce jeudi 5 juillet 2021 du projet « promouvoir les droits des femmes de travailler en dehors de leurs ménages  » par l’équipe des chercheurs et bénévoles du centre de développement et entreprises.
résultats de l’étude sur les droits économiques de la femme menée pendant près de cinq maintenant.

Ce projet vise les réformes des valeurs juridiques qui continuent à bloquer la femme à s’épanouir sur le plan socioéconomique en République Démocratique du Congo.

Selon le centre For développement et entreprises CDE RDC des inégalités de droits, de chance et de sexe persistent entre les hommes et les femmes et font perdre le pays l’utile contribution des femmes à la réalisation de ses objectifs de développement durable.

Pour le directeur exécutif du centre for développement et entreprises espoir bindu ,le problème qu’il convient d’appeler à résoudre est donc celle de savoir comment faire jouir de la femme congolaise de tous ces droits désormais constitutionnels et légaux indubitablement ignorés par elle faute d’insuffisance d’information et de volonté politique nonobstant le principe constitutionnel contestable selon lequel  » nul n’est censé ignorer la loi  » tel que consacré par l’article 62 alinéa premier de la constitution de la République Démocratique du Congo et en fin un devoir du citoyen sans lui réserver aucune facilité d’accès dans un pays où tous les textes sont en langue étrangère avec une population majoritairement analphabète,encore que les femmes sont les plus majoritaires selon plusieurs statistiques.

Ainsi pour améliorer les conditions de la femme en RDC et dénoncer les violations à son égard ,plusieurs recommandations ont été formulées aux autorités congolaises à savoir :

Au ministre de la justice, d’initier une réforme des lois qui éliminent les barrières juridiques de la femme congolaise et vulgariser mais aussi mettre en application toutes les lois et traités déjà ratifiées en faveur des droits de la femme.

Au ministre des affaires sociales, genre, famille et enfant, de prendre une mesure officielle qui autorise la liberté pour les femmes de travailler en dehors de leurs ménages sans aucune condition préalable de son époux.

Au ministre des finances, d’instaurer une mesure de discrimination posait,d’exonérer toutes sortes des taxes aux entreprises féminines qui sont une énergie positive pour le développement économique des plusieurs familles et du pays.

En fin au ministre de l’intérieur ayant la police dans ses attributions et les maries ,de garentir la protection et la sécurité des femmes exerçant les petits commerces ambulants et transfrontaliers qui souffrent des graves violations des droits économiques par certains éléments de la police et autres services publics.

Amour Imani Christian

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