La situation de la femme demeure préoccupante en matière de violation de ses droits, a déclaré samedi dernier le chef de division provinciale du Genre du Sankuru, Mme Marie Londja Shodu, à la clôture samedi dernier à Lusambo de la journée internationale de 16 jours d’activisme pour mettre fin à la violence faite contre les femmes et les filles.
« C’est une matière généralisant la femme et la fille du Sankuru en générale et de Lusambo en particulier, exige une attention toute particulière des autorités politico administratives et l’Assemblée provinciale du Sankuru », a- t – elle relevé, soulignant que 85 pourcents des femmes et filles subissent toutes formes des violences au quotidien notamment sexuelles, physiques, domestiques, économiques, morales, psychologiques et autres discriminations.
Le chef de division provinciale du Genre du Sankuru, Mme Marie Londja Shodu,
Marie Londja a également signalée que les femmes sont majoritaires dans le secteur informel et travaillent dans des conditions plus que précaires notamment dans l’agriculture. Elles ne bénéficient pas des techniques de production innovantes, d’appuis financiers pour leur permettre d’étendre les surfaces cultivables et sans encadrement pour un meilleur rendement.
Bwa John