Dans un monde assoiffé de richesse, le pape François a légué une leçon d’âme : « Ce n’est pas ce que tu possèdes qui compte, mais ce que tu es. »
Il n’a pas laissé des millions. Pas de trésor caché au Vatican. Pas de testament doré scellé dans un coffre. Juste un billet de 100 dollars et un message manuscrit puissant, troublant, bouleversant.
« Ce n’est pas ce que tu possèdes qui compte, mais ce que tu es. Ce que tu fais, tu le fais pour les autres. »
Ainsi s’éteint le 266e pape de l’Église catholique, François, surnommé le pape des pauvres. Un homme de foi, oui, mais surtout un homme du peuple, un cœur qui battait pour les oubliés, les exclus, les invisibles.
Dans cette époque trouble où l’argent est roi, où la possession prime sur la compassion, son dernier geste si humble, si déconcertant a fait trembler les murs du monde moderne. Pas un sou de plus. Juste une idée : l’amour, le service, la simplicité.
« Le pape est mort, mort et enterré. Le pape est reparti, reparti à la maison du Père. »
Lui qui a toujours refusé les ors du Vatican, les privilèges inutiles, les trônes clinquants, laisse derrière lui une trace indélébile. Pas dans les comptes bancaires. Mais dans les consciences.
Il ne régnait pas avec une couronne. Il régnait avec le cœur.
Et toi qui lis ces lignes… Que laisseras-tu derrière toi ? Des objets ? De l’argent ? Ou une trace, une vraie, une empreinte sur les cœurs ?
« Remember, remember ex commémore. Tout passe, tout casse, tout lasse.»
Mais certaines âmes, elles, restent.
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