Site icon SPHYNXRDC

La gestion orthodoxe du pays par Joseph Kasa-Vubu au centre d’une journée de sensibilisation

Les anti-valeurs gangrènent la société congolaise. Même au plus haut sommet de l’État ! La bonne gouvernance pose problème en RDC. Pourtant, les Congolais ont une référence politique en matière de respect de la chose publique en ne confondant pas les deniers publics avec sa poche. Il s’agit du premier président de la République de la RDC, Joseph Kasa-Vubu (30 juin 1960-24 novembre 1965).
A la veille du 52eme anniversaire de sa mort (24 mars 1969), le Magazine « Renaissance africaine » a songé à faire ressortir tout ce qui était positif en lui pour la bonne gouvernance du pays.

Le Magazine « Renaissance africaine », à travers son Directeur général, Freddy Mulumba Kabuayi wa Bondo, organise, ce samedi 20 mars, de 10h00′ à 14h00′, une journée de sensibilisation dont le thème central est « Joseph Kasa-Vubu, héros national ». Cadre : la grande salle de la paroisse Notre-Dame de Fatima. Cette conférence-débat, qui sera modérée par le professeur-docteur Benjamin Longo Mbenza, connaîtra quatre intervenants. Il s’agit du professeur Pamphile Mabiala Mantuba qui planchera sur « La biographie de Joseph Kasa-Vubu » ; du professeur-abbé César Vumuka-Ku-Nanga qui axera son intervention sur « Les bases spirituelles et morales de Kasa-Vubu » ; et du professeur Ngoma Binda qui abordera le sous-thème « Joseph Kasa-Vubu, philosophie politique et bonne gouvernance ».
Il s’en suivra des débats et échanges.
Au regard de sous-thèmes retenus. il ne fait aucun doute que les participants seront édifiés sur les motivations du premier Chef de l’État de la RDC de servir le pays et son peuple. Situation qui fait défaut aujourd’hui et dont les acteurs politiques réunis actuellement au sein de l’Union sacrée de la Nation, y compris le président Félix-Antoine Tshisekedi, ne cessent de souligner pour voir le pays repartir du bon pied afin d’amorcer le développement de la RDC. En effet, se mettre exclusivement au service de la Nation est d’ailleurs devenu l’un des critères pour prétendre briguer un mandat officiel.

Olivier Dioso

Quitter la version mobile