Kwilu: Jets des pierres par une poignée des jeunes à l’Assemblée provinciale sous l’œil complice de la police.

Alors que les députés provinciaux se réunissaient hier les après-midi en plénière pour élire le nouveau Président du bureau définitif de cet organe délibérant, après la destitution de l’ancien Président Serge MAKONGO par ses pairs, il y a quelques semaines passées, une poignée des jeunes, pro Serge MAKONGO, qui, pour empêcher la tenue de cette plénière élective, ont pris d’assaut les alentours de l’hémicycle en jetant des pierres et des bâtons sur le toit de l’organe délibérant, peu après l’arrivée du Général KANOLD KANAMA avec ses policiers.

Ces jeunes ont jeté des pierres sur le toit de cette institution sous les yeux et aux barbes des policiers présent à l’assemblée.

On pouvait bien entendre, les cris de quelques militants de partis politique à l’intérieur de l’hémicycle venus pour soutenir leurs candidats, demandant sous une grande peur et psychose aux policiers d’intervenir, mais hélas, ces derniers ont fait le sourd d’oreille.

Le bâtiment de l’assemblée provinciale du Kwilu saccagé

« Notre police est inféodée, c’est vraiment malheureux, de constater que le Général de la police est là, avec ses gardes ainsi que d’autres policiers de garde de l’Assemblée, mais l’institution telle que l’Assemblée est attaquée sans que les policiers interviennent, alors qu’ils sont présents ! Même pas un coup de gaz lacrymogène ! » S’est indigné un administratif de l’Assemblée.

Il faut dire que depuis plus d’un mois cette institution, subie certains actes que la populatio, voire eux-mêmes les députés n’arrivent pas à expliquer.

Sur ordre de l’ancien Président, alors qu’il était sous une motion de censure, il avait ordonné à la police de fermer les bureaux de l’assemblée. Peu après, les bureaux administratifs ainsi que la salle des plénières ont été reouverts par la même police.

Cette fois, ce fut sur ordre du procureur général. Quelques temps plutôt, la police avait fait encore éruption dans l’hémicycle, pour disperser les députés et fermer à double tour les bureaux et la salle de plénière, sans que l’on sache qui avait donné cet ordre. De nouveau reouverts et pendant que les députés pensaient que ce cirque était derrière eux, ce fut le contraire car ont vécu une soirée terrifiante.

La terre brûlée

La question qui mérite d’être posée est celle de savoir qui est derrière cette cacophonie et ces désordres qui ne cessent de ternir l’image de la province du Kwilu?

Les Observateurs avertis pointent du doigt le gouvernement provincial qui serait derrière tous ce cirque.

D’après eux, ils pensent que, si une fois, l’Assemblée à un nouveau Président, s’entraînerait inéluctablement la destitution du gouvernement ITSHUNDALA. Voilà pourquoi, le Gouvernement se battrait bec et ongle pour déstabiliser l’Assemblée provinciale afin de retarder en tous cas ce qui apparemment est inévitable.

Assemblée provinciale du Kwilu

Ces observateurs s’interrogent également sur l’impartialité et le rôle que joue, la police dans ce dossier, qui prend de l’ampleur et paralyse la gestion de toute une province à cause des intérêts égoïstes et fanatiques de certains individus au détriment de tout un peuple.

Pour la majorité de ces observateurs avertis, tout porte à croire que, la police serait complice de ce dossier qui ne fait que déstabiliser le bon fonctionnement des institutions provinciales.

« Nous n’avons reçu l’ordre d’intervenir ou d’empêcher qui que ce soit pourquoi vouliez-vous qu’on intervienne, nous sommes dans un service où l’on ne peut agir sans ordre de la hiérarchie » se

Kwilu : Jets des pierres par une poignée des jeunes à l’Assemblée provinciale sous l’œil complice de la police.

Alors que les députés provinciaux se réunissent hier les après-midi en plénière pour élire le nouveau Président du bureau définitif de cet organe délibérant, après la destitution de l’ancien Président Serge MAKONGO par ses pairs, il y a quelques semaines passées, une poignée des jeunes, pro Serge MAKONGO, qui, pour empêcher la tenue de cette plénière élective, ont pris d’assaut les alentours de l’hémicycle en jetant des pierres et des bâtons sur le toit de l’organe délibérant, peu après l’arrivée du Général KANOLD KANAMA avec ses policiers. Ces jeunes ont jeté des pierres sur le toit de cette institution sous les yeux et aux barbes des policiers présent à l’assemblée. On pouvait bien attendre, les cris de quelques militants de partis politique à l’intérieur de l’hémicycle venu pour soutenir leurs candidats, demandant sous une grande peur et psychose aux policiers d’intervenir, mais hélas, ces derniers ont fait le sourd d’oreille.

« Notre police est inféodé, c’est vraiment malheureux, de constater que le Général de la police est là, avec ces gardes ainsi que d’autres policiers de garde de l’Assemblée, mais l’institution telle que l’Assemblée est attaqué sans que la police intervienne, alors qu’ils sont présent ! Même pas un coup de gaz lacrymogène ! » S’est indigné un administratif de l’Assemblée.

Il faut dire que depuis plus d’un mois cette institution, subi certains actes que la population et voir eux-mêmes les députés n’arrivent pas à expliquer. Sur ordre de l’ancien Président, alors qu’il était sous une motion de censure, il avait ordonné à la police de fermer les bureaux de l’assemblée. Peu après, les bureaux administratifs ainsi que la salle des plénières ont été reouverts par la même police, cette fois sur ordre du procureur général. Quelques temps plutôt, la police avait fait encore éruption dans l’hémicycle, pour disperser les députés et fermer à double tour les bureaux et la salle de plénière, sans quel on sache qui avait donné cet ordre. De nouveau recouverts, pendant que les députés pensaient que ce cirque était derrière eux, malheureusement, ils ont vécu une soirée terrifiante.

La question qui mérite d’être posé, est, qui est derrière cette cacophonie et ses désordres qui ne cessent de ternir l’image de la province du Kwilu. Les Observateurs avertis pointent du doigt le gouvernement provincial qui serait derrière tous ce cirque. D’après eux, ils pensent que, si une fois, l’Assemblée à un nouveau Président, s’entraînerait inéluctablement la destitution du gouvernement ITSHUNDALA. Voilà pourquoi, le Gouvernement se battrait bec et ongle pour déstabiliser l’Assemblée provinciale afin de retarder en tous cas ce qui apparemment est inévitable.

Ces observateurs s’interrogent également sur l’impartialité et le rôle que joue, la police dans ce dossier, qui prend de l’ampleur et paralyse la gestion de toute une province à cause des intérêts égoïstes et fanatiques de certains individus au détriment de tout un peuple. Pour la majorité de ces observateurs avertis, tous porte à croire que, la police serait complice de ce dossier qui ne fait que déstabiliser le bon fonctionnement des institutions provinciales.

« Nous n’avons reçu l’ordre d’intervenir ou d’empêcher qui que ce soit pourquoi vouliezf-vous qu’on intervienne, nous sommes dans un service qu’on ne pas agir sans ordre de la hiérarchie » se défend un policier qui a requis l’anonymat.

Signalons que, il y a aucun blessé, seulement quelques vitres de fenêtres de la salle de plénière ont été cassées. Et les auteurs de ces actes restent inconnus.

Kwilu : Jets des pierres par une poignée des jeunes à l’Assemblée provinciale sous l’œil complice de la police.

Alors que les députés provinciaux se réunissent hier les après-midi en plénière pour élire le nouveau Président du bureau définitif de cet organe délibérant, après la destitution de l’ancien Président Serge MAKONGO par ses pairs, il y a quelques semaines passées, une poignée des jeunes, pro Serge MAKONGO, qui, pour empêcher la tenue de cette plénière élective, ont pris d’assaut les alentours de l’hémicycle en jetant des pierres et des bâtons sur le toit de l’organe délibérant, peu après l’arrivée du Général KANOLD KANAMA avec ses policiers. Ces jeunes ont jeté des pierres sur le toit de cette institution sous les yeux et aux barbes des policiers présent à l’assemblée. On pouvait bien attendre, les cris de quelques militants de partis politique à l’intérieur de l’hémicycle venu pour soutenir leurs candidats, demandant sous une grande peur et psychose aux policiers d’intervenir, mais hélas, ces derniers ont fait le sourd d’oreille.

« Notre police est inféodé, c’est vraiment malheureux, de constater que le Général de la police est là, avec ces gardes ainsi que d’autres policiers de garde de l’Assemblée, mais l’institution telle que l’Assemblée est attaqué sans que la police intervienne, alors qu’ils sont présent ! Même pas un coup de gaz lacrymogène ! » S’est indigné un administratif de l’Assemblée.

Il faut dire que depuis plus d’un mois cette institution, subi certains actes que la population et voir eux-mêmes les députés n’arrivent pas à expliquer. Sur ordre de l’ancien Président, alors qu’il était sous une motion de censure, il avait ordonné à la police de fermer les bureaux de l’assemblée. Peu après, les bureaux administratifs ainsi que la salle des plénières ont été reouverts par la même police, cette fois sur ordre du procureur général. Quelques temps plutôt, la police avait fait encore éruption dans l’hémicycle, pour disperser les députés et fermer à double tour les bureaux et la salle de plénière, sans quel on sache qui avait donné cet ordre. De nouveau recouverts, pendant que les députés pensaient que ce cirque était derrière eux, malheureusement, ils ont vécu une soirée terrifiante.

La question qui mérite d’être posé, est, qui est derrière cette cacophonie et ses désordres qui ne cessent de ternir l’image de la province du Kwilu. Les Observateurs avertis pointent du doigt le gouvernement provincial qui serait derrière tous ce cirque. D’après eux, ils pensent que, si une fois, l’Assemblée à un nouveau Président, s’entraînerait inéluctablement la destitution du gouvernement ITSHUNDALA. Voilà pourquoi, le Gouvernement se battrait bec et ongle pour déstabiliser l’Assemblée provinciale afin de retarder en tous cas ce qui apparemment est inévitable.

Ces observateurs s’interrogent également sur l’impartialité et le rôle que joue, la police dans ce dossier, qui prend de l’ampleur et paralyse la gestion de toute une province à cause des intérêts égoïstes et fanatiques de certains individus au détriment de tout un peuple. Pour la majorité de ces observateurs avertis, tous porte à croire que, la police serait complice de ce dossier qui ne fait que déstabiliser le bon fonctionnement des institutions provinciales.

« Nous n’avons reçu l’ordre d’intervenir ou d’empêcher qui que ce soit pourquoi vouliezf-vous qu’on intervienne, nous sommes dans un service qu’on ne pas agir sans ordre de la hiérarchie » se défendu un policier qui a requis l’anonymat.

Signalons que, il y a aucun blessé, seulement quelques vitres de fenêtres de la salle de plénière ont été cassées. Et les auteurs de ces actes restent inconnus.

Ezéchiel KASENDA

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