Les Mobondo ne cessent de sévir dans certains villages du territoire de Popokabaka, dans la province de Kwango. C’est chaque matin que les hommes, jeunes et vieux reçoivent trois coups de la facette de machette. Une situation qui démontrent à suffisance que ce phénomène est loin d’être maîtrisé comme essaient de déclarer les autorités congolaises. Pire encore, on peut voir ces assaillants qui se couvrent toujours la tête avec une bande rouge porter des armes à feu.
Tout captif qui refuse de recevoir ces trois coups est menacé de se faire décapiter. Il faut dire que toute cette occupation se passe à quelques kilomètres de la capitale de la République Démocratique du Congo, Kinshasa. Que cette bande de criminels ne soient pas maîtrisés suscitent beaucoup des questions: » en quoi est ce que les forces sécuritaires sont elles puissantes? »
Don Petit N’Kiar