Kinshasa: les élèves de Révérend Kim sensibilisés sur le mois de la femme

Les élèves de l’école révérend Kim à Kinshasa ont accueilli l’ONG Réseau des juristes engagés dans la lutte contre les violences basées sur le genre (RJELVG) ce mardi 08 mars dans ladite école pour échanger sur la journée du 8 mars, journée dédiée aux femmes.

Deux intervenantes sont intervenus tour à tour . Il s’agit de Me Rachel KABAMBA ,la coordinatrice de la dite ONG qui est revenue sur l’historique du 8 mars. Au cours de son intervention , elle a répondu à quelques questions de ces élèves qui voulaient savoir :qu’est ce que le 8 mars,
pourquoi le célébrer chaque année?
 » La journée de la femme reste aujourd’hui une brillante actualité , car tant que l’égalité entre l’homme et la femme ne sera pas atteinte, nous serons toujours dans l’obligation de célébrer le 8 mars » a renchérit Me Rachel Kabamba.

La deuxième intervenante, Me Doudou Tikaileli a parlé sur le thème National du 08 mars. Celle a demandé, aussi, à chaque élève de contribuer pour lutter contre les changements climatiques et réduire les risques des catastrophes:

« Le thème de cette année c’est ; << Promouvoir l’autonomisation des Femmes et des Filles ainsi que l’égalité des sexes dans le contexte de la lutte contre le changement climatiques et de Réduction des risques des catastrophes. cherchons à contribuer comme femme en fin de réaliser ce qui est évoqué sur le sujet » a dit Me Doudou Tikaileli.

Avant la clôture de l’activité, Mr Cerise Mtoro de l’ONG Secours juridique psychologique et sanitaire des femmes et enfants (SJPSFE) assurant la modération de l’activité a demandé aux élèves d’être porteurs de la matière reçu pour que cette dernière puisse atteindre toute la couche sociale.

Signalons que, Réseau des juristes engagés dans la lutte contre les violences basées sur le genre (RJELVG), Secours juridique psychologique et sanitaire des femmes et enfants (SJPSFE) sont deux organisations de la province de la Tshopo, plus précisément dans la ville de Kisangani.

Me Rachel Kabamba, coordinatrice de l’ONG Réseau des juristes engagés dans la lutte contre les violences basées sur le genre et organisatrice de cette activité estime que c’est mieux de mener ces activités partout en cas de nécessité.

C.M

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