Site icon SPHYNXRDC

Halte au travail des enfants

It is estimated that between 20,000 and 40,000 children, some thought to be as young as six years old, work in Mali's artisanal gold mines. Many of the children are exposed to toxic mercury used in the processing of gold, and some have suffered long-term spinal injuries. They also face risks such as accidents in unstable pits as well as physical and sexual abuse. Mamadou, 17, is from from Bayan village south of Bamako. He is from a farming family of 10 children, four of whom were able to go to school. In years when the harvests are bad, he would go to the mines to work with his father. Since he was 12 years old, he was the child who was designated to work in the mines after the harvest and one day take over from his father. But Mamadou said he wished he could go to school and get an office job. Working in the mines is tough and leaves him with pain all over his body. Gold mining has been MaliâÃÂÃÂs main export since 1999. The country is the third largest gold producer in Africa after South Africa and Ghana. Since 2005 Mali has produced about 50 tons of gold per year worth more than US$2.9 billion at September 2011 prices according to a Malian Ministry of Mines report. This type of traditional mining in southern and western Mali is known as artisanal or small-scale mining and is carried out by individuals, groups or families with minimal or no mechanisation using labour-intensive excavation and processing methods. Artisanal mining accounts for about four tons of gold per year.

Dans toutes les sociétés humaines, le milieu le plus privilégier pour l’enfant, c’est la famille et non la rue. Malheureusement, on s’aperçoit avec amertume que beaucoup d’enfants vivent dans la rue.
Pour les uns, ces enfants ont été chassés de leur famille au motif qu’ils sont sorciers . Pour les autres, ces enfants ont fui la misère qui a frappé leurs familles respectives. Pour les autres encore, ces enfants ont préféré vivre en toute liberté. C’est ce qui explique la présence remarquable de mineurs dans nos rues.
Au-delà de cette situation, il existe une autre catégorie d’enfants qui vendent de l’eau, des arachides, des biscuits et autres articles. Pire encore, ces enfants passent des journées entières sans manger. Les uns se débrouillent seuls. Les autres sont soit utilisés par leurs parents, soit par des tierces personnes.
Et pourtant, la législation en la matière n’autorise pas le travail des mineurs. Ils y en a qui passent beaucoup de temps devant les terrasses. Cela, dans le but de trouver des clients. Des jours entiers. Pendant des semaines et des mois, ces enfants sont à la merci de tout. Ils n’ont aucune protection. Personne ne pense à leur avenir. De leur côté, ils normal ce qu’ils font. Oubliant que leur place, c’est à l’école.
Avec la gratuité de l’enseignement de base, il est souhaitable d’envoyer les enfants à l’école au lieu de les utiliser à d’autres fins. Le seul moyen d’assurer l’avenir des mineurs, c’est leur accorder la possibilité d’étudier. Les utiliser au travail des adultes, c’est restreindre leur chance dans la vie.
C’est pourquoi, le gouvernement doit veiller pour décourager ceux qui utilisent abusement les mineurs. Leurs droits doivent être respectés. En tant que mineurs, ces enfants ont besoin de la protection de l’État. C’est la seule façon de préparer leur avenir.
Mputu.

Quitter la version mobile