Le sénateur Papy Bazego, élu du Bas-Uele et rapporteur adjoint de la commission Ecofin à la chambre haute du Parlement a séjourné dernière dans son fief pour s’acquérir de la situation actuelle sur terrain.
Ce dernier, faisant d’une pierre deux coups, a fait un tour sur les routes du corridor Est qui relie la République démocratique du Congo aux pays membres de la communauté de l’Afrique de l’est, AEC.
Ce dernier a fait un constat très amer devant l’état de délabrement très avancé des infrastructures routières dans cette partie du pays sur la nationale n°4 comme il l’exprime dans ces propos :
Toujours soucieux du bien être de sa base, le dynamique cadre du MLC n’a pas été de tout repos et a échangé avec les administratifs du lieu sur quelques questions épineuses en rapport avec le projet de développement des 145 territoires qui concerne aussi les 6 territoires que compte la jeune province du Bas-Uele.
La première citoyenne de cette province pleine d’atouts à travers ses 6 territoires, Ruth Baduli, a présenté la situation générale de ses administrés qui vivent dans une situation d’une précarité très avancée au sénateur Papy Bazego qui se veut la voix de tous ses frères et sœurs au niveau national.
Les deux personnalités ont échangé accompagnés de l’administrateur du territoire, les membres de la société civile, les chefs des bureaux des différents services de l’état, ainsi que les autorités traditionnelles venues des 7 secteur du Bas Uele.
La mécanisation des agents et fonctionnaires, nouvelles unités était au centre de ces échanges. Le sénateur Papy Bazego s’est porté garant pour mener à bon port ces préoccupations.
Ce dernier s’est aussi entretenu avec l’avocat général du Bas-Uele à l’absence du procureur général de la République autour des multiples aspects liés à la cristallisation de l’état de droit prôné par le chef de l’état Félix Tshisekedi.
Papy Bazego a inspecté aussi les matériaux de la voie ferroviaire des chemins de fer du bassin de l’Uele qui se trouve dans un état de délabrement très avancé. Il a fini par la traversée de la rivière Tshopo à l’aide d’un bac de l’Office des routes, un engin flottant d’une vétusté inquiétante, et ce, avant une brave descente à l’aéroport national de Buta. Un vrai parcours de combattant !
Sam Nzita
